Hernán D. Caro n’aime pas particulièrement se promener dans les parcs ou le long des allées bordées d’arbres. Mais en ce moment, il ne manquerait ces promenades pour rien au monde : il les conçoit comme un remède pour lutter contre la passivité du confinement, parce qu’il redécouvre sa ville, et parce qu’il engage des discussions captivantes en chemin.