Avec
- Bernard Banoun (Paris-Sorbonne)
- Françoise Lartillot (Université de Lorraine)
- Gerald Stieg (Paris 3)
- Jean-Pierre Lefèbvre (ENS Ulm)
Modération :
Jean-Marie Valentin (Institut Universitaire de France)
Le romaniste Hugo Friedrich a imposé la réflexion comparée sur La structure de la poésie moderne (1956). La modernité réside selon lui dans le fait que l’acte poétique a pour référent exclusif la langue.
Les acteurs en sont français et ont pour noms Baudelaire, Rimbaud, Mallarmé, Valéry. Sont convoqués pour l’Allemagne Benn, Rilke, Trakl auxquels s’ajoute par la suite Celan.
Le débat portera sur les caractères de ce changement radical, les relations entre les deux littératures et la place propre à chacun des auteurs considérés.
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