Théâtre Léonce et Léna

Groupe de quatre peintres avec des pinceaux à la main © Marie Liebig

12, 13, 14, 17 et 19 mars 2020

Théâtre de la Cité

Léonce et Léna

de Georg Büchner, mise en scène par Galin Stoev

ATTENTION : le 18 mars, à l'issue la représentation aura lieu une rencontre avec les comédiens en bord de scène.

Créé en avril dernier en Allemagne dans le cadre du festival international Die Festwoche, Léonce et Léna répond à l’invitation faite à Galin Stoev de mettre en scène une œuvre classique revisitée où joueraient de jeunes acteurs de la troupe de Meiningen. En artiste multiculturel, il s’est emparé de cette drôle de comédie dont le 2ème acte lui avait justement inspiré sa toute première mise en scène à 21 ans...
 
Qu'est-ce qui a bien pu pousser un jeune et brillant scientifique, à l'âme et aux écrits révolutionnaires, à écrire cette étrange bleuette déjantée qu'est Léonce et Léna ? Comment l'auteur de La Mort de Danton en arrive-t-il, un an après son drame historique fulgurant, à composer une prétendue « comédie », aux ressorts qui restent résolument inclassables, aujourd'hui comme hier ? Galin Stoev en parle comme d’une « comédie de la comédie », une œuvre complètement foutraque, où se mélangent pêle-mêle collages et citations, emprunts venus d'avant ou d'ailleurs à des auteurs comme Shakespeare ou Musset - pour ne citer que ceux-là. Dans cette pièce, des personnages étranges et étrangers à eux-mêmes, se comportent comme des marionnettes et devront, pour se « découvrir », se déguiser en automates...
Léonce et Léna met en scène la vie absurde du prince mélancolique Léonce et de la princesse triste Léna. Georg Büchner mêle avec légèreté des éléments de la comédie romantique et de la satire sociale.
 
Durée:l 1:30h / en allemand, surtitré en français
Avec la troupe permanente
du Théâtre national de Meiningen, Allemagne 


Une coproduction entre le Théâtre National de Meinigen et le ThéâtredelaCité – CDN Toulouse-Occitanie, avec l’aide du programme „Théâtre Export“ de l’Institut Français, accueilli à Toulouse avec le soutien du Goethe-Institut
 

Retour