Émile Boucher
Mon cher Goethe-Institut !
Je ne pourrais pas vivre sans Goethe-Institut. Car : « Un amour de vieillesse est comme un amour de jeunesse. » Fougueux oui !
Je me souviens très bien quand j’ai commencé à apprendre l’allemand. C’était en octobre 1993. J’étais jeune - 74 ans. Hildegard Beutler était notre professeur. Son mari était le directeur du Goethe-Institut. Nous étions environ 15 élèves (femmes et hommes). Je me rappelle un élève, qui prenait sans cesse la parole. Il s’appelait François. Impossible pour les autres de poser ne serait-ce qu’une question. J’espère que cette sorte d’élève n’existe plus.
Quand je suis au Goethe-Institut, c’est comme si j’étais déjà en Allemagne. C’est mon pays bien aimé et je suis très heureux !
Merci Goethe-Institut ! Je t’aime !
Émile Boucher