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Chronologie : Le texte devenu mouvement
There Are Black People in the Future

There Are Black People in the Future
© Alisha Wormsley

« There are Black People in the Future » de Alisha Wormsley s’inspire des artistes et écrivain.e.s afrofuturistes qui soulignent la nécessité pour les Noir.e.s de revendiquer leur place.

De Alisha Wormsley

« There are Black People in the Future » s’inspire des artistes et écrivain.e.s afrofuturistes qui soulignent la nécessité pour les Noir.e.s de revendiquer leur place. Par l’inscription et la prononciation des mots « There are Black People in the Future », le projet s’attaque à l’oppression systémique des communautés noires à travers l’espace et le temps en rassurant la présence des corps noirs. En 2017, Wormsley a placé ces mots sur un panneau d’affichage à East Liberty, un quartier de l’est de Pittsburgh en proie à l’embourgeoisement. Lorsque le panneau d’affichage a été retiré par la ville, les membres de la communauté ont manifesté.

En réponse à ce soutien communautaire, Wormsley a collecté des fonds de subvention pour les artistes, les activistes et les travailleurs communautaires de Pittsburgh et de Houston autour de leur interprétation de la phrase « There Are Black People in the Future ». Depuis lors, le panneau d’affichage a été reproduit à Detroit, Charlotte, New York, Kansas City et Houston, ainsi qu’à Londres. Le texte, que Wormsley encourage à utiliser librement, a depuis lors été utilisé dans la protestation, la théorie critique de l’art, des essais, des chansons, des témoignages et des rêves collectifs.

2012 - 2020

There are Black People in the Future ist von afrofuturistischen Künstler*innen und Schriftsteller*innen inspiriert THERE ARE BLACK PEOPLE IN THE FUTURE : le texte devenu mouvement
« There are Black People in the Future » s’inspire des artistes et écrivains afrofuturistes qui soulignent la nécessité pour les Noirs de revendiquer leur place. Par l’inscription et la prononciation des mots « There are Black People in the Future », le projet s’attaque à l’oppression systémique des communautés noires à travers l’espace et le temps en rassurant la présence des corps noirs. En 2017, Wormsley a placé ces mots sur un panneau d’affichage à East Liberty, un quartier de l’est de Pittsburgh en proie à l’embourgeoisement. Lorsque le panneau d’affichage a été retiré par la ville, les membres de la communauté ont manifesté. En réponse à ce soutien communautaire, Wormsley a collecté des fonds de subvention pour les artistes, les activistes et les travailleurs communautaires de Pittsburgh et de Houston autour de leur interprétation de la phrase « There Are Black People in the Future ». Depuis lors, le panneau d’affichage a été reproduit à Detroit, Charlotte, New York, Kansas City et Houston, ainsi qu’à Londres. Le texte, que Wormsley encourage à utiliser librement, a depuis lors été utilisé dans la protestation, la théorie critique de l’art, des essais, des chansons, des témoignages et des rêves collectifs. | © Alisha Wormsley

Septembre 2021

En 2011, j’ai lancé un projet de film expérimental et d’archives intitulé « Children of NAN », qui s’inspire fortement de la science-fiction et de la spiritualité noire. Je l’ai filmé à Homewood, un quartier noir historique de Pittsburgh, ma ville natale. J’ai trouvé qu’il était vraiment facile de filmer là-bas parce qu’il s’agit un peu d’une histoire post-apocalyptique. Puis c’est comme l’apocalypse, ce qui se passe dans ce quartier, à l’heure actuelle. Et je me suis demandée, pourquoi? J’ai donc commencé à travailler sur ce sujet, à y réfléchir, à le traiter.

Octobre 2021


Beginn der Künstlerresidenz in Homewood. Début de la résidence artistique à Homewood
En 2012, après avoir vécu dix ans dans le quartier de Brooklyn à New York, je suis revenue dans ma ville natale de Pittsburgh pour commencer une résidence artistique au musée Andy Warhol. Là, j’ai demandé pour un studio dans l’école secondaire de Homewood, qui est située un quartier où j’ai passé beaucoup de temps étant enfant. J’ai partagé mon travail de Children of NAN avec les étudiants, et ils étaient enthousiastes à l’idée de réaliser leurs propres films de science-fiction. Je me souviens qu’ils voulaient tous faire des films de zombies; des quartiers isolés qui luttaient vraiment pour survivre ont prêté à ce genre. Nous avons dû nous demander pourquoi. Ensuite, il y avait le manque de Noirs dans les films de science-fiction, mon genre préféré. Quand j’ai commencé à les partager avec les étudiants, ce fait est devenu plus obtus. Toutes ces fusillades se produisaient, tous ces jeunes hommes se faisaient tuer par des policiers, se tuaient les uns les autres. | © Babara Klein/CMOA

Novembre 2012-2013

 
Étudiant.e.s au travail
Mes étudiants ont réalisé un certain nombre de films (des films de zombies aux épisodes de Law and Order, en passant par les films d’enlèvements d’extraterrestres), dont ce documentaire qui interroge l’état actuel de leur quartier. © Artistes de la résidence artistique à Homewood

Janvier 2013


Archivierung von Homewood, There Are Black People in the Future: Objekte « Archiving Homewood, There Are Black People In The Future: Objects »
J’aime beaucoup les rituels et tout mon travail tourne autour des traditions, des rituels et de la culture, j’ai donc commencé à collectionner des objets. Et les gens me donnaient des objets, comme les vieilles dames... Je me promenais tout le temps dans le quartier et les gens me connaissaient, et j’adore les collectionneurs. J’ai donc commencé à parler à tous ces collectionneurs, et ils ont commencé à me donner des sacs d’objets, comme des vieux trucs de leur maison. J’ai commencé à imprimer « There Are Black People In The Future » sur tous ces objets, et à les enrober de résine. Et donc, je crée ces artefacts, je creuse les ruines de ce magnifique quartier étonnant, et j’essaie de préserver cet héritage. Préserver et faire en sorte que, vous savez, ce soit comme une prophétie : il y a des Noirs dans le futur. J’ai également collaboré avec l’artiste sonore, Ricardo Robinson de Sonarcheology Studios, pour collecter des sons et composer des pièces pour les objets. Visionner la vidéo ici : https://vimeo.com/c9c90907-0d42-40ce-9f38-38177924c7b6 | © Alisha Wormsley

Février 2013-2016


Afrofuturismus: Die Welt Schwarzer Science-Fiction und Fantasy-Kultur « Afrofuturism: The World of Black Sci-fi and Fantasy Culture » par Ytasha Womack
Entre 2013 et 2016, j’ai exposé ce travail sous différentes formes et installations. There Are Black People In The Future a fait l’objet de plusieurs essais et textes sur l’afrofuturisme, notamment le livre d’Ytasha Womack, « Afrofuturism : The World of Black Sci-fi and Fantasy Culture in 2014 ». http://www.redwedgemagazine.com/commentary/black-future-month-is-here | © Ytasha Womack

Septembre 2013


Homewood Artist Residency Homewood Artist Residency
Entre 2013 et 2016, j’ai exposé ce travail sous différentes formes et installations. There Are Black People In The Future a fait l’objet de plusieurs essais et textes sur l’afrofuturisme, notamment le livre d’Ytasha Womack, « Afrofuturism : The World of Black Sci-fi and Fantasy Culture in 2014 ». http://www.redwedgemagazine.com/commentary/black-future-month-is-here | © Alisha Wormsley

1 mars - 1 avril 2018


There Are Black People In The Future sur « The Last Billboard » à East Liberty, Pittsburgh « There Are Black People In The Future » on The Last Billboard in East Liberty, Pittsburgh
En février 2018, j’ai été invitée à afficher la phrase sur The Last Billboard (thelastbillboard.com), un projet de Jon Rubin. Une fois installée, We Do Property, la société propriétaire du panneau d’affichage, a contacté l’Université Carnegie Mellon (CMU), Rubin et mon employeur, pour invoquer une clause rarement utilisée stipulant que les panneaux d’affichage ne pouvaient pas être utilisés pour des objets jugés offensants, de mauvais goût, érotiques ou politiques. La phrase a été retirée du panneau d’affichage. Comme Rubin l’a déclaré au balado du Miller Institute of Contemporary Art, le courriel qu’il a reçu du propriétaire, dans lequel il exprimait son mécontentement à l’égard de la phrase de Wormsley, était bref et précis : « Il y a des plaintes de la communauté à propos du panneau d’affichage actuel. Retirez-le immédiatement. » Lire l’article de Hyperallergic ici : https://hyperallergic.com/436763/alisha-wormsley-the-last-billboard-pittsburgh-there-are-black-people-in-the-future/ | © Alisha Wormsley

avril 2018 - Janvier 2019


<b>„There Are Black People in the Future“ ist ein Zeichen des Protests!<b><br>Als man den Text abmontierte, veröffentlichte ich einen Kommentar dazu: Er begann als Science-Fiction-Witz eines Schwarzen Nerds. Eine Reaktion auf die Abwesenheit nicht weißer Gesichter in Science-Fiction-Filmen und Fernsehsendungen. Eine deutliche Bezugnahme auf zahlreiche Texte über den Afrofuturismus, wie beispielsweise von Florence Oyeke: „Schließlich, um den Musiker Gabriel Teodros zu zitieren: ‚Wenn wir uns nicht in die Zukunft einschreiben, werden wir auch aus dem Morgen herausgeschrieben.‘ – Der Afrofuturismus wagt es, zu behaupten, dass es nicht nur Schwarze Menschen in der Zukunft geben wird, sondern dass wir diese auch erschaffen und formen werden.“ Diese Formulierung wurde zu meinem Mantra. Später entwickelte ich ein Kunstwerk, indem ich Objekte aus dem Pittsburgher Viertel Homewood von dessen Bewohner*innen sammelte (meinen Schüler*innen, Senior*innen, Leuten auf der Straße, in der Bibliothek usw.). Ich bedruckte diese Objekte mit den Worten „There Are Black People in the Future“, tauchte sie in Harz und schuf so Artefakte dieser wunderbaren Zivilisation. Das Werk ist zu einem Archiv der Fakten, Geschichten und Mythen geworden, die das apokalyptische Narrativ dieser Diaspora fortsetzen. Ich verwende den Begriff „apokalyptisch“ bewusst, denn er speist sich aus dem langsamen Verfall der Viertel Schwarzer Amerikaner. (Und dennoch gedeihen wir). Das Gesamtkunstwerk hat bereits viele Formen angenommen: Video, Installation, Street Art, Performance und nun die Anzeigetafel. In dem Moment, als Jon mich zur Mitarbeit einlud, wusste ich, was dieser Satz in East Liberty auslösen könnte. Was der Satz in dieser Stadt, diesem Land und der Welt bedeuten könnte. Welche Gespräche daraus hervorgehen könnten, welche posttraumatischen Belastungsstörungen sich damit adressieren ließen, und einfach zu sehen, wie in diesem sozialen Klima etwas so Offensichtliches postuliert wird, hat schon eine beruhigende Wirkung auf einige – auf mich. Es wird magisch, so fantastisch wie eine Prophezeiung. Dass der Satz abmontiert wurde, macht mich tieftraurig. Und dennoch tröstet mich, wie mein Pittsburgh sich erhoben hat! Ich glaube, wir alle wissen, wie sich Unbehagen anfühlt. Lasst uns Methoden erarbeiten, um diesem Unbehagen konstruktiv auf den Grund zu gehen, ohne Druck auf andere oder anderes auszuüben. Ich fühle mich nicht dazu berufen, Menschen in eine bestimmte Richtung zu stoßen. Ein Künstler, der mich inspiriert, sagte mir: „Deine Aufgabe ist es, das Denken zu fördern, nicht den Leuten zu sagen, was sie denken sollen. Gefühle hervorzurufen, nicht den Leuten zu sagen, was sie fühlen sollen.“ Wie ihr euch auch fühlen mögt, was ihr auch denken mögt, ES WIRD SCHWARZE MENSCHEN IN DER ZUKUNFT GEBEN. Letztlich ist dieser Text ein Satz, der mir nicht gehört, er ist für alle, die ihn verwenden möchten. Bitte. Nehmt ihn. Das schickte den Text um die Welt. « There Are Black People in the Future » est un signe de protestation!
Lorsque le panneau d’affichage a été démonté, j’ai fait une déclaration sur la suppression du texte. Ça a commencé comme une blague de science-fiction de nerd noir. Une réponse à l’absence de visages non blancs dans les films de science-fiction et à la télévision. Une réponse à de nombreux écrits afrofuturistes, comme celui de Florence Oyeke : « Après tout, pour citer le musicien Gabriel Teodros : “Si nous ne nous écrivons pas dans le futur, nous serons également radiés de demain.” – L’afrofuturisme ose suggérer que non seulement les Noirs existeront dans le futur, mais que nous en serons aussi les créateurs et les façonneurs. » Cette phrase est devenue mon mantra. Par la suite, j’ai développé un travail de collecte d’objets dans un quartier de Pittsburgh, Homewood, auprès des habitants (mes étudiants, mes aînés, les gens de la rue, de la bibliothèque, etc.). J’ai imprimé sur les objets les mots « There Are Black People in the Future », puis je les ai enrobés de résine, créant ainsi des artefacts de cette incroyable civilisation. L’œuvre est devenue une archive d’informations, d’histoires et de mythes qui poursuivent le récit apocalyptique de la diaspora. Je choisis le terme « apocalyptique » consciemment, car il est inspiré par la lente disparition des quartiers noirs américains. (Et pourtant, nous prospérons.) Ce travail a déjà pris de nombreuses formes : vidéo, installation, art urbain, performance et maintenant le panneau d’affichage. J’ai su ce que cela pouvait signifier dans East Liberty au moment où Jon me l’a demandé. C’est ce que ça pourrait signifier dans cette ville, ce pays, ce monde. Les conversations qui pourraient avoir lieu, les problèmes de stress post-traumatique qui pourraient être abordés, et le simple fait de voir quelque chose d’aussi évident énoncé dans ce climat social est rassurant pour certains, pour moi. Ça devient magique, aussi fantastique qu’une prophétie. Je suis profondément attristée qu’il soit retiré. Et pourtant, je suis réconfortée par la façon dont mon Pittsburgh s’est tenu debout! Je pense que nous savons tous ce que c’est que d’être mal à l’aise. Commençons à travailler sur des méthodes permettant d’étudier ce malaise de manière constructive, sans utiliser le pouvoir sur quiconque ou quoi que ce soit d’autre. Je n’ai pas pour vocation de diriger les gens dans une direction donnée. Un artiste qui m’inspire m’a dit : « Votre travail est de promouvoir la pensée, pas de dire aux gens comment penser. De provoquer des sentiments, pas de dire aux gens comment se sentir. » Quel que soit votre sentiment, quelle que soit votre pensée, THERE ARE BLACK PEOPLE IN THE FUTURE. Enfin, ce texte est une phrase qui ne m’appartient pas, elle est destinée à tous ceux qui veulent l’utiliser. Je vous en prie. Utilisez-la. Ça a permis d’envoyer le texte dans le monde entier. | © Heather Mull

10 janvier 2019


<b>Das Office of Public Art (OPA) freut sich, den Beginn von „There Are Black People in the Future“ der Künstlerin Alisha Wormsley als Artwork-in-Residence im Pittsburgher East End bekanntzugeben.</b><br>Pittsburgh, PA … 10. Januar 2019 … Das Office of Public Art (OPA) freut sich, den Beginn von „There Are Black People in the Future“ der Künstlerin Alisha Wormsley als Artwork-in-Residence im Pittsburgher East End bekanntzugeben. Durch die Residenz wird es Wormsley mit Unterstützung des Künstlers Jon Rubin Bewohner*innen der Viertel East Liberty, Bloomfield, Garfield, Larimer und Homewood ermöglichen, die nächste Manifestation von „There Are Black People in the Future“ zu konzipieren, einem fortlaufenden Werk, das Wormsley 2012 begann. Die Artwork-in-Residence wird Workshops und Gemeinschaftsdiskussionen umfassen, um mit den Einwohner*innen von Pittsburgh in einen Dialog über die Bedeutung und Intentionen des Werks zu treten. Darüber hinaus sind Künstler*innen, Lehrer*innen und die Bewohner*innen der Viertel dazu eingeladen, Vorschläge einzureichen, wie sie die Bedeutung von Wormsleys Text in ihren Vierteln ergründen wollen. Alle ausgewählten Preisträger*innen erhalten ein Stipendium von 1200 Dollar zur Umsetzung ihres Vorschlages. Eine Informationsveranstaltung über das Stipendium wird am Donnerstag, den 17. Januar 2019, von 17.30 Uhr bis 18.30 Uhr in der Carnegie Library of Pittsburgh stattfinden – East Liberty, 130 South Whitfield Street, Pittsburgh, 15206. Mehr Informationen und einen Link zur Bewerbung unter thereareblackpeopleinthefuture.com. L’Office of Public Art (OPA) est heureux d’annoncer le lancement de l’œuvre de l’artiste Alisha Wormsley, « There Are Black People in the Future », en tant qu’œuvre d’art en résidence dans l’East End de Pittsburgh.
Pittsburgh, PA...10 janvier 2019... L’Office of Public Art (OPA) est heureux d’annoncer le lancement de l’œuvre de l’artiste Alisha Wormsley, « There Are Black People in the Future », en tant qu’œuvre d’art en résidence dans l’East End de Pittsburgh. Grâce à cette résidence, Wormsley, avec le soutien de l’artiste Jon Rubin, fera participer les membres de la communauté d’East Liberty, Bloomfield, Garfield, Larimer et Homewood pour les aider à imaginer la prochaine manifestation de « There Are Black People in the Future », un ensemble d’œuvres que Wormsley a commencé à développer en 2012. L’œuvre d’art en résidence comprendra des ateliers et des conversations communautaires afin d’engager la communauté de Pittsburgh dans un dialogue sur la signification et les intentions de l’œuvre. En outre, les artistes, les enseignants et les membres de la communauté sont invités à soumettre des propositions sur la manière dont ils pourraient explorer la pertinence du texte de Wormsley dans leur propre communauté. S’ils sont sélectionnés, chaque lauréat recevra des honoraires de 1 200 dollars pour mettre en œuvre sa proposition. Une séance d’information sur cette opportunité aura lieu le jeudi 17 janvier 2019 de 17 h 30 à 18 h 30 à la Carnegie Library of Pittsburgh – East Liberty, située au 130, rue South Whitfield, Pittsburgh, 15 206. Pour plus d’informations et un lien vers le formulaire de candidature, veuillez consulter le site : thereareblackpeopleinthefuture.com. | © Office of Public Art

14 février 2019 - 1e septembre 2019


Value of Sancutary exhibition at THE CATHEDRAL CHURCH OF SAINT JOHN THE DIVINE in New York City L’exposition « Value of Sancutary » à la CATHÉDRALE SAINT-JEAN LE THÉOLOGIEN de New York. | © Alisha Wormsley https://www.stjohndivine.org/art/the-value-of-sanctuary/

10 juillet 2019 - 10 Septembre 2019


Ingrid LaFleurs afrofuturistisches Manifest „Destiny“ verdeutlicht, dass die Zukunft Schwarz ist. L’afrofuturiste « Manifest Destiny » d’Ingrid LaFleur montre clairement que l’avenir est noir.
Le premier volet de Manifest Destiny, une nouvelle exposition qui s’ouvre samedi et qui est organisée par la commissaire afrofuturiste (et ancienne candidate à la mairie de Detroit) Ingrid LaFleur, est une installation sur panneau d’affichage de l’artiste Alisha Wormsley qui s’est élevée au début du mois au-dessus du Queen’s Bar dans le centre-ville de Detroit. La phrase « THERE ARE BLACK PEOPLE IN THE FUTURE » en lettres blanches et en majuscules se trouve avec audace sur un fond noir. | © Alisha Wormsley

24 Oktobre 2019


There Are Black People in the Future“: Präsentationen der Artwork-in-Residence. « There Are Black People in the Future » : Présentations de Artwork-in-Residence
L'artiste Alisha Wormsley et l'Office of Public Art (OPA) ont le plaisir d'annoncer les 11 lauréats sélectionnés pour engager la communauté de Pittsburgh dans un dialogue sur la signification et les intentions de l'œuvre d'art There Are Black People in the Future de Wormsley. Sélectionnés par le biais d'un processus d'appel ouvert annoncé le 10 janvier 2019, ces boursiers aideront à envisager la prochaine manifestation de There Are Black People in the Future, un corps d'œuvre continu que Wormsley a commencé à développer en 2012. Chacun des lauréats suivants recevra un honoraire ainsi que le soutien de Wormsley, de l'artiste collaborateur Jon Rubin et de l'OPA pour mettre en œuvre leurs propositions de projet soumises dans les quartiers d'East Liberty, Bloomfield, Garfield, Larimer et/ou Homewood:
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Thomas James Agnew, Navigating as a Black Creative in Pittsburgh
Ether, The Afrofuture Has Arrived
Anqwenique Kinsel, JUST SING! A Vocal Intensive with Anqwenique
D.S. Kinsel, Totems, Shrines and Sacraments
Amos Levy, There Are Black Teens in the Future: Afro Sci-Fi Storytelling at YMCA Lighthouse
Lucas Mickens, blackMAN
Onika Reigns, The Black Dream Escape
Felicia Savage Friedman, I Am Beautiful! I Am Strong! Raja Yoga: Relevant and Radical Racial Conversations Swathed in Love
Ayana Toukam, Journey of a Mystic (working title)
Woodrow Winchester III, Art+Engineering: Towards the Humanistic Technologist
Brett Wormsley, There Are Black People in the Future: Creative Expression Contest
For more information about the projects and awardees, please visit: thereareblackpeopleinthefuture.com/participants. | © Artwork in residence

Juin 2020


There Are Black People in the Future ist ein neues Zeichen des Protests … There Are Black People In The Future est le nouveau signe de protestation... | © Alisha Wormsley

Juin2020

 
« There Are Black People In The Future », chanson écrite et interprétée par Lavender Freddy
Se voir danser à la lumière de demain, c’est devenir un fugitif de la noirceur du moment présent. Quelles formes prennent les rêves lorsque les rêves ont été volés? Retrouvez votre nature créative! Réappropriez-vous vos rêves. Voyez-vous là et commencez à vous manifester. Devenez les cartographes de votre propre autodétermination. Les manifestations d’aujourd’hui sont les défilés de demain. NOUS Y ARRIVERONS!!! ! Musique LVTV par : La'Vender Freddy Titre : (Chanson à thème) « There Are Black People In The Future », inspirée par le travail de @alishabwormsley

1e juillet 2020 - 1 Septembre 2020

 
THERE ARE BLACK PEOPLE IN THE FUTURE œuvre d’art en résidence, HOUSTON, TX
Les enseignants, artistes, activistes et membres de la communauté qui vivent ou travaillent à Houston sont invités à soumettre des propositions de projet qui explorent la pertinence du texte de @alishabwormsley « There Are Black People In The Future » dans leurs propres communautés. Chaque lauréat recevra un honoraire de 1 000 dollars pour mettre en œuvre sa proposition.

10 Septembre 2020 - 5 Décembre 2020


Installation: “There Are Black People In The Future” | 9/10 to 12/5 | The Goethe Pop Up Kansas City Installation : « There Are Black People In The Future » | 9/10 au 12/5 | Le Goethe Pop Up Kansas City.
Le Goethe Pop Up Kansas City est heureux de présenter There Are Black People in the Future, un projet afrofuturiste de l’artiste Alisha B. Wormsley, basée à Pittsburgh.

Le projet de Wormsley sera présenté dans le cadre du projet régional plus vaste Shaping the Past, qui réunit des artistes et des militants pour mettre en lumière les interventions de mémoire critique en cours dans des sites et des espaces en Amérique du Nord et en Allemagne. There Are Black People in the Future est un ensemble d’œuvres interdisciplinaires afrofuturistes que Wormsley a commencé à développer en 2012, qui comprend des vidéos, des gravures, des collages, des sculptures et des panneaux d’affichage. En 2018, le texte a été retiré d’un panneau d’affichage dans un quartier de Pittsburgh récemment embourgeoisé par des promoteurs. Pour Wormsley, son retrait a transformé cette phrase en un mouvement, dans lequel le public était encouragé à utiliser ses mots pour améliorer le monde qui l’entoure.

Le 10 septembre, un panneau d’affichage portant l’inscription « There Are Black People in the Future » sera placé au carrefour de Broadway et Pershing. Les artistes ont été invités à répondre au panneau d’affichage par des images et des textes. La contribution de chaque artiste sera installée sur la façade de la fenêtre du Goethe Pop Up au 1914, rue Main et sera exposée à partir du 8 octobre. Les artistes participants sont les suivants : Izsys Archer, Jessica Ayala, Arianna Bonner, Mona Cliff, Joes Faus, Sheri Purpose Hall, Glyneisha Johnson, Jada Patterson et Harold Smith. | © Alisha Wormsley

15 Septembre 2020

 
Nous sommes très heureux d’annoncer les lauréats sélectionnés pour There Are Black People in the Future, une résidence artistique virtuelle dirigée par l’artiste Alisha B. Wormsley (@alishabwormsley) en collaboration avec Project Row Houses (@projectrowhouses)!

Félicitations à Baiyinah (@msabdullahbio) et Summayah Abdullah, Marcos Hernandez Chavez (@marcos.hernandez.chavez), Kamerra Franklin (@bamitskam), Rosine Kouamen (@korkamer), et Garry Reece. Pendant leur résidence, ils catalyseront collectivement des conversations qui favorisent des changements positifs dans leurs communautés à Houston par l’art et la pratique. Restez à l’écoute pour en savoir plus sur les lauréats et leur travail.

20 Oktobre 2020


#thereareblackpeopleinthefuture