Cinémardi
Cinémardi – Coup de cœur : la classe volante

6 garçons avec boules de neige dans la main
© Constantin Film Presse Service

Les Toulousains présentent leurs films allemands préférés

Goethe-Institut Toulouse

La classe volante, Réalisateur : Tomy Wigand, All. 2003, VOSTF, 110 min.

Hymne à l’amitié et la solidarité, « La classe volante » raconte les aventures d’une bande de garçons qui suivent leurs études au prestigieux internat du chœur de l’église de Saint-Thomas de Leipzig. Tout en innovant, le metteur en scène Tomy Wigand réussit à rester fidèle à la version originale, le roman éponyme d’Erich Kästner. Introduction par Stephanie Eckert, lectrice du DAAD à Toulouse 2.
 
Hymne à l’amitié et la solidarité, « La classe volante » (Allemagne 2003) raconte avec humour et affection les aventures d’une bande de cinq garçons qui suivent leurs études au prestigieux internat du chœur de l’église de Saint-Thomas de Leipzig. Entre cours et répétions, les jeunes chanteurs libèrent non seulement un camarade de classe séquestré par leurs rivaux, mais remportent également une gigantesque bataille de boules de neige, découvrent les méandres de l’amour et préparent la représentation d’une comédie musicale rappée pour Noël. Chemin faisant, ils organisent encore les retrouvailles de deux vieux amis qui se sont perdus de vue – celles de Justus, leur cantor et enseignant, et de Robert qui, à la fin des années 1970, s’est enfuit de la RDA.
 
« Comment un adulte peut-il oublier sa jeunesse, au point de ne plus savoir combien un enfant peut être triste et malheureux ? Car il est bien égal que l’on pleure pour une poupée abimée ou parce que l’on perd plus tard un ami dévoué. » La version de 2003, qui est la troisième adaptation du roman éponyme d’Erich Kästner pour le cinéma, s’ouvre à juste titre par cette citation de l’écrivain, célèbre pour ses livres pour enfants et la jeunesse : elle souligne la fidélité du metteur en scène, Tomy Wigand, à l’esprit de l’original de 1933. Dans le même temps, Wigand ose innover et n’hésite pas à introduire des sujets qui préoccupent la jeunesse d’aujourd’hui, comme le chômage ou des parents qui divorcent.
 
Accueil et mot d’introduction par Stephanie Eckert, lectrice du DAAD à l’Université Toulouse 2, qui nous expliquera également pourquoi « La classe volante » lui plaît tant.

 
En coopération avec le DAAD


 

Détails

Goethe-Institut Toulouse

4 bis, rue Clémence Isaure
31014 Toulouse

Langue: En allemand et en français
Prix: Entrée libre

+33 5 61230834 info-toulouse@goethe.de