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Techno Worlds: L'équipe

Henrike Naumann and Bastian Hagedorn, The Museum of Trance, 2021, installation médias mixtes, détail photo: Barnabás Neogrády-Kiss

Conservat.rices.teurs

Mathilde Weh est conservatrice, musicienne et artiste. Jusqu'à 2022, elle était consultante au département des arts visuels du siège du Goethe-Institut à Munich. Elle conseilla les projets artistiques du Goethe-Institut à l’étranger et était commissaire de l’exposition itinérante Geniale Dilletanten – Subkultur der 1980er-Jahre in Deutschland, dont elle a publié le catalogue sous le même titre avec Leonhard Emmerling (Hatje Cantz). Ancienne rédactrice de radio, elle s’intéresse profondément aux thèmes des sous-cultures, de l’art et de la musique, et contribue à des événements et des discussions organisés par des institutions et des universités, notamment l’Académie des arts de Berlin, en Allemagne.

Expositions dans des musées et galeries, à l’international (sélection en Allemagne à partir de 2015 : Haus der Kunst Munich, Museum Kunst und Gewerbe Hamburg, Albertinum/Staatliche Kunstsammlungen Dresden). Mathilde Weh a initiée l’exposition TECHNO WORLDS.
Justin Hoffmann est conservateur, musicien (membre du FSK) et historien de l’art. En plus d’avoir assuré la direction de l’institution artistique Kunstverein Wolfsburg depuis 2004, il a enseigné à l’Académie des beaux-arts de Munich, à l’Académie des beaux-arts de Vienne, à l’Université des arts de Zurich, à l’Université des arts de Braunschweig et à la Merz Akademie de Stuttgart, entre autres, et a été professeur invité à l’Université des arts de Linz.

Publications choisies :

Destruktionskunst (1995); Gustav Metzger: Manifeste Schriften Konzepte (1997); Das Phantom sucht seinen Mörder: Ein Reader zur Kulturalisierung der Ökonomie (1999, coédité avec Marion von Osten); Strips & Characters: Kunst unter dem Einfluss von Comics (2004, Hrsg.); Non-Stop : Ein Reader zur Ambivalenz von Krieg und Frieden (2005, éditeur); Der Traum von der Zeichenmaschine (2006, éditeur); Next Level: Die Lust am Spiel in der Netzwerkgesellschaft (2007, éditeur); Work Fiction (2007, éditeur); In the Shadows (2008, éditeur); Tribute to Gustav Metzger (CD et livret, 2008), Best of 50 Years (2010, éditeur); Learning from Detroit (2014, co-éditeur avec Günter Riederer), Gruppe Schloßstraße 8 (2018, éditeur); Snap Your Identity (2020, éditeur).
Creamcake (CC) est une plateforme interdisciplinaire basée à Berlin qui s’intéresse aux points de convergence de la musique électronique, de l’art contemporain et des technologies numériques. À l’écart des structures sociales normatives, CC évolue dans des processus fluides de pensée et d’action, et s’engage dans les questions sociales actuelles du présent à travers différents projets. Sous la direction de Tomke Braun, Daniela Seitz et Anja Weigl, CC organise des expositions, des performances, des concerts, des symposiums, des DJ sets, des projets numériques et des ateliers, notamment le 3hd Festival (depuis 2015), Paradise Found (2019), インフラ INFRA (2017), Europool (2017-2019) et « <Interrupted = "Cyfem and Queer> » (2018-2019). En tant qu’espace nomade queer-féministe, CC a collaboré avec plusieurs clubs, espaces communautaires et institutions tels que Berghain, Klosterruine, OHM, Südblock, HAU Hebbel am Ufer, KW Institute for Contemporary Art/Bob’s Pogo Bar, et WWWβ.

Assitance

Anita Eylmann travaille au département culturel du Goethe-Institut. Elle est responsable, entre autres, de la coordination de projets d’expositions itinérantes dans le département des arts visuels, par exemple Geniale Dilletanten – Subkultur der 1980-er Jahre in Deutschland, Getting Across, bauhaus imaginista et TECHNO WORLDS.
Lukas Heger est titulaire d’une maîtrise en études artistiques et muséales et en études littéraires anglophones de l’Université de Bayreuth. Il travaille actuellement pour la division des arts visuels du Goethe-Institut et contribue à la maison d’édition Iwalewabooks en tant qu’éditeur indépendant. À l’Iwalewahaus, il a travaillé comme conservateur adjoint et a contribué, entre autres, à l’exposition Feedback: Art, Africa and the 1980s, organisée par Ugochukwu Smooth-Nzewi.